Article R*7-12-1-8 du Code de l’organisation judiciaire
Definition et application par la jurisprudence
Texte de loi
Article R*7-12-1-8
Sans préjudice des dispositions prévues par leur statut ou les règles régissant leur activité, toutes les personnes qui participent au fonctionnement de la maison de justice et du droit sont tenues à l’obligation de confidentialité, notamment à l’égard des informations nominatives qu’elles recueillent dans l’exercice de leurs missions.
Source : Legifrance (DILA) – Licence Ouverte 2.0
Application par la jurisprudence
Nota bene — je ne trouve pas, dans les décisions accessibles ici, d’arrêts citant spécifiquement l’article R*7-12-1-8 COJ, ce qui laisse penser à un renumérotage récent ou à un article peu mobilisé en contentieux. En pratique, lorsque des textes réglementaires du COJ fixent des modalités procédurales, les juges en font une application concrète et finaliste, en vérifiant la régularité formelle, l’information des parties et l’absence d’atteinte disproportionnée aux droits de la défense. À titre d’analogie méthodologique, sur des fondements proches d’organisation du service (ex. responsabilité de l’État pour dysfonctionnement), les juridictions apprécient les circonstances de la procédure, la complexité, le comportement des parties et l’existence de délais excessifs, sans se limiter à un seul critère temporel. Si vous me confirmez le texte exact de R*7-12-1-8 (ou son contexte), je vous fournis une synthèse ciblée de sa mise en œuvre par la jurisprudence en 3–4 phrases.
Jurisprudence citant cet article
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